On dit qu’une étoile commence à mourir lorsque, ayant épuisé ses réserves d’hydrogène, elle quitte son état d’équilibre. Débute une longue phase de dégénérescence qui mènera, selon la taille de l’astre, à l’effondrement de son coeur voire à sa violente explosion. Pour cette nouvelle création, Maud Blandel associe le phénomène astrophysique des pulsars au souvenir sonore tragique de l’explosion du coeur de son père. En traduisant des principes tels que la rotation, la gravité, la périodicité, L’œil nu met en jeu six danseur·se·s et transforme l’espace scénique en véritable terrain d’observation : face à un corps (stellaire, physique, collectif) qui dégénère, que perçoit on réellement ?

Conseillé dès 15 ans

POUR ALLER PLUS LOIN
Une introduction au spectacle est proposée 30′ avant chaque représentation dans le Foyer de la Salle 2