Jeune chorégraphe belge atypique, Louise Vanneste aime travailler tous les mediums en même temps. Pour Therians, elle ajoute la littérature à la lumière et au son puisque c’est l’Orlando de Virginia Woolf qui imprime ici sa marque: un solo pour deux, un homme puis une femme. Les corps parlent, une photographie lumineuse éclaire: le réel entre dans cette composition influencée par les parades d’oiseaux et par les métamorphoses mythiques de l’homme en animal.