Paradox(al) est le troisième chapitre d’une trilogie intitulée Humain trop Humain ; trois parcours sensibles et poétiques, dans lesquels l’intime rejoint l’universel. Il est question de faire société ensemble, tous ensemble.

Avec cette pièce, François Veyrunes envisage la notion du paradoxe comme un catalyseur essentiel des dynamiques du vivant. Inspiré par Edgar Morin, il nous encourage à voir les paradoxes comme sources de créativité. Plutôt que de les éviter, il nous incite à les embrasser, à accepter à la fois leurs contradictions et leurs complémentarités.

La Compagnie 47 • 49 développe depuis plus de trente ans une écriture singulière. S’appuyant sur la gravité et le transfert de poids, leur danse exige des corps un engagement extrême. Paradox(al) explore ces paradoxes intrinsèques à la nature humaine en les transposant dans le champ gravitaire.