L’objet scruté dans Bell end, c’est le connard. Ses microgestes / micromots, déployés dans ce qu’ils ont à la fois de comique et de violent. Avec ce duo, Mathilde Invernon retourne les acceptations intériorisées et renverse les dominations. C’est libérateur, joyeux.
Recréation
Coproduction du Pavillon ADC en collaboration avec la Bâtie-Festival de Genève